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Masterclass | Fail et bonnes pratiques du social marketing pendant la crise sanitaire #Covid19

Avant la crise sanitaire du (ou "de la", c'est selon) #Covid19, on les accusait de tous les maux. Pendant le confinement, ils sont devenus l'un des meilleurs remèdes à la morosité et ont battu tous les records d'audience.

En guise de bilan "à chaud", j'ai compilé dans cette masterclass une 10aine d'enseignements tirés de mes interventions sur le terrain pendant de cette période inédite, particulièrement mouvementée et finalement passionnante pour notre métier de communicant. Je les ai illustrés de nombreuses bonnes (et moins bonnes) pratiques #marketing inspirantes pour anticiper et réenchanter avec les #réseauxsociaux ce "monde d'après" dont on parle tant.

MP si vous êtes intéressé par ce partage d'expérience.

Pourquoi aime-t-on autant les fake news ?

Peut-être parce que l'on confond "false" et "fake". En anglais, false est synonyme d'erreur, d'information factuellement inexacte quand le buzzword fake news s'apparente plutôt à un petit arrangement avec la réalité, une sorte d'interprétation bien sûr à son propre avantage. Finalement, ce que nous faisons tous chaque jour  sur les réseaux sociaux en partageant non pas la vie (ou l'actualité de notre marque) que nous avons mais celle que nous aimerions avoir. Une lutte perpétuelle entre aspiration et inspiration qui rend plus belle la vie.

L'algorithme formate aussi nos esprits

Ce matin, j'ai constaté que j'avais adopté, sans vraiment m'en rendre compte jusqu'à présent, un nouvel automatisme : à la consultation des flux d'actualités de mes réseaux sociaux préférés, mon attention se détourne de plus en plus des posts commençant par "Fiers de vous annoncer que nous sommes…", "Heureux de vous présenter notre tout dernier…" ou encore "Nous avons eu l'honneur de bénéficier de…".

Au début, j'ai cru faire une intolérance au #personalbranding mais, à la réflexion, pas du tout : plutôt à l'autopromotion qui - même à doses homéopathiques - peu s'avérer à terme toxique pour la conversation et l'échange avec les membres de sa propre communauté.

Bon, je pense que ce n'est pas bien grave : j'ai dû sécréter mon propre effet palliatif à l'algorithme, voilà tout !

Twitter sort du cadre. Les nouvelles règles pour tweeter

Facebook, c'est pour les vieux : compris ?!

Rétrospective 2015

@twitter

@facebook

@youtube

#papertweet, le 15 juin

Dans quel panier mettre nos Social Dollars ?

Le Marketing Science Journal sort une étude qui fait le point sur les communautés de marques et leur pouvoir économique.

Puneet Manchanda, professeur de marketing à l'Université du Michigan et co-auteur de l'étude, nous y apprend notamment que les Social$ existent bel et bien. Selon lui,  ils représenteraient même 18% des achats générés par les membres d'une communauté.

Il y démontre aussi, s'il était encore utile de le faire, l'importance de proposer à ses membres une relation suffisamment engageante, au-delà d'une simple auto-promotion perpétuelle de sa marque et de ses produits dans les réseaux sociaux.

Mais surtout, il fait le point sur un débat qui devient de plus en plus fondamental : doit-on continuer à rémunérer Facebook, Twitter et leurs amis pour mettre tous nos œufs dans leur panier… ou penser à créer son propre éco-système social comme certains l'ont déjà fait (Starbucks, Dell, Nikon, Nike, EDF, Bouygues Télécom, Sosh, Castorama, Leroy Merlin…). Interview (2mn31).

Voici les marques qui alimentent le plus les conversations sur la toile

Bolero Web Intelligence vient tout juste de dévoiler les résultats d'une étude sur les marques générant le plus de buzz. Résultats et enseignements.

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