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Rédigé par Mickaël Guillois | Lien permanent
Si vous avez travaillé en agences de pub, de com, digital, RP ou événementiel, vous connaissez LE grand tabou : elles confondent votre motivation ET votre capacité à être corvéable à merci. Alors que finalement ces 2 idées sont totalement opposées.
Enfin toutes… ? J'exagère. Voici le retour d'expérience de côme jacobée, ceo de l'agence belazar, qui pose une réflexion sur le sens du travail aujourd'hui. Il a même décidé de mettre en pratique une solution pas si conventionnelle que cela en agence et qui change un peu la donne.
Rédigé par Mickaël Guillois dans marqueemployeur | Lien permanent
En échangeant avec un spécialiste de l'intelligence artificielle (en chair et en os celui-là), j'ai compris que lorsque le moteur de Chat GPT commence une phrase pour répondre à votre question, il n'a pas la moindre idée de là où il va la terminer.
Il génère juste ce que l'on appelle des "tokens" (ces petits bouts de mots qui ressemblent à des syllabes). Il les assemble les uns à la suite des autres en fonction de règles de probabilité qu'il teste au fur et à mesure pour ainsi former des mots… puis des phrases… donnant ainsi l'illusion d'une conversation.
Concrètement, voici ce que ça pourrait donner dans sa petite tête d'algorithme : compte-tenu de la question que l'on me pose et de l'énorme base de données à laquelle j'ai accès, au token "Bon" j'associerais bien "jour" car la probabilité est de 90% puis "et" (probabilité : 75%) et "vous?" (probabilité : 82%). Bien sûr, l'exemple est fictif…
Donc en utilisant chaque jour cette merveilleuse innovation qu'est Chat GPT, parfois pour des applications professionnelles, gardons à l'esprit que Chat GPT n'a pas d'esprit (encore moins critique), ni de bon sens ou de créativité.
D'ailleurs l'intelligence, même artificielle, ce n'est pas ce qu'on lui demande. Ca, c'est notre part du job.
Rédigé par Mickaël Guillois dans boîte à idées, curiosités, IA | Lien permanent
3 ans que je ne m’y étais pas rendu. Ma dernière visite date du monde d’avant, avant le covid, avant beaucoup de choses qui ont fait changer le métier des marketeurs. J’y suis allé pour m’inspirer, retrouver des amis, m’en faire de nouveaux et aussi un peu par nostalgie.
Pour être honnête, mon bilan est en demi-teinte. Certes, j’ai fait de belles rencontres mais, à l’heure des wébinaires, de chat GPT et des contenus omniprésents, je suis reparti du salon avec finalement peu d’idées nouvelles.
Voici l’impression, bien sûr toute personnelle, que m’a laissée ma visite.
• Avant, un salon, c’était des petits rituels. Dès l’entrée, un tote bag en lin (qui finissait à la poubelle rentré au bureau), des tonnes de magazines papier (qu’on ne lisait jamais, direction poubelle). Sur les stands, des goodies publicitaires (souvent en plastique) et des piti bonbons dans des bols (où tout le monde se servait - rappelez-vous, le covid n’existait pas à l’époque)… Et dans le monde d’après, au risque de faire hurler les Dir RSE, j’ai vu la même chose.
• L’équipe d’accueil du salon est pro, à l’écoute, souriante, même avec certains visiteurs ronchons, j’en suis témoin. Un vrai bonheur.
• Beaucoup de conférences marronniers ressemblent à s’y méprendre aux thématiques abordées il y a 3 ans. On y retrouve les buzz words d’autrefois (“omnicanalité”). Hormis ChatGPT, dont l’affluence a été importante, j’ai trouvé assez peu de contenus inspirants en lien avec les nouveaux enjeux des marketeurs (metavers, gestion du buzz, influence, perte de sens, nouvelles stratégies de fidélisation, l’humain au cœur d’un marketing de plus en plus automatisé et anonyme et une vision d’avenir pour la jeune génération qui était présente dans les allées du salon).
• Souvent peu de temps d’attente aux conférences. Parfait pour les visiteurs. Hélas, bien sûr un effet collatéral des grèves, surtout mardi 28. Presque tous les exposants avec qui j’ai échangé regrettaient le manque d’affluence.
• Une app pour smartphone. Peut-être optimisable. Personnellement, j’ai vu peu de personnes l’utiliser. J’aurais aimé qu’elle soit plus mise en avant au cœur du salon en y ajoutant des expériences exclusives. Toutefois, elle a le mérite d’exister. Merci à l'organisateur.
• Un lounge réservé exclusivement à la presse. Trouver un spot où se poser pour créer un simple contenu n’a pas été simple. Seul endroit disponible : un muret à côté des poubelles, en face de l’espace presse.
• Certains exposants ont des visions du marché vraiment originales, éthiques, et performantes mais ces derniers sont parfois noyés dans le lot. J’ai notamment échangé avec Webvert, qui décarbone votre site web,
et Pitchy, qui apporte une solution simple au problème des contenus vidéo trop chère et complexe à produire.
#strategiec #emarketing #strategieclients #relationclient #EmarketingParis #experienceclient
Rédigé par Mickaël Guillois dans Internet a tout changé, web.ux | Lien permanent
Bien sûr, personne ne remet en question l'intérêt du public pour le format #podcast. 155 millions de podcasts français écoutés ou téléchargés en janvier 2023 selon Médiamétrie http://bit.ly/3mOq59m. 78% des auditeurs qui se déclarent intéressés par l'écoute du podcast d'une marque qu'ils apprécient. Le phénomène est un buzzword et le nouveau graal pour bon nombre d'entreprises.
Mais on parle moins des podcasts de marque qui s'essoufflent passés les 1ers mois (semaines ?) de diffusion faute d'auditeurs au rendez-vous.
A priori, pas une fatalité. Et si l'on y regarde de plus près, on constate même qu'ils ont souvent un point commun : une bonne (ou une moins bonne) intention qui conditionne leur succès dès les premiers instants de leur création.
Alors voici 3 mauvaises raisons de lancer un podcast.
Et je suis certain que vous en connaissez d’autres…
Rédigé par Mickaël Guillois dans bonnes/bad pratiques, boîte à idées, Do It Yourself, podcast | Lien permanent
… allez savoir, peut-être êtes-vous victime de l’une de ces 10 malédictions.
Car on le sait depuis des années, les aspirations des jeunes collaborateurs vis-à-vis du travail ont beaucoup changé. Surtout depuis la crise sanitaire.
Résultat : un processus de recrutement de plus en plus ubuesque, me confiait une amie DRH dans un grand groupe industriel, avec des candidats qui sur-bookent leur agenda, puis ne se présentent pas à l’entretien convenu sans même l’annuler. D’autres viennent, puis vous ghostent passé la 1ère rencontre, voire même la 1ère journée passée au sein l’entreprise.
Avec ce nouveau paradigme, la Marque-Employeur devrait être la solution idéale pour l’entreprise qui peine à recruter. Sauf que dans la réalité, on en est loin.
Si c’est votre cas, voici 10 pistes de réflexions qui pourraient peut-être vous aider à remettre en question votre stratégie et lui permettre de faire in fine toute la différence.
Rédigé par Mickaël Guillois dans boîte à idées, marqueemployeur, tips | Lien permanent
Est-il encore possible de booster les vues de ses vidéos sur Youtube (sans se ruiner en ads) ? Voici 2 façons de le faire, mais qui ne donnent pas les mêmes résultats :
D'un côté, vous avez un constructeur de voitures de légende* Ford France (*désolé, encore aujourd'hui aucun modèle n'arrive à la jante de la 😏 GT40). Sur sa chaîne officielle, la marque totalise actuellement plus de 45K abonnés. On y trouve de nombreuses vidéos qui présentent avec une qualité irréprochable les innovations des nouveaux modèles de la marque. Notamment cette web-série dont certains épisodes peinent hélas à dépasser les 900 vues
De l'autre, vous avez un concessionnaire du sud-est de la France Groupe Maurin Automobiles qui commercialise l'offre de Ford. Sur sa chaîne Youtube (6,8K abonnés), l'un de ses conseillers commerciaux, Jeremy Tourenq partage des vidéos certes moins léchées (son, cadrage et montage peut-être de moins bonne qualité) mais qui atteignent, pour certaines, jusqu'à plus de 80K vues
Rédigé par Mickaël Guillois dans bonnes/bad pratiques, boîte à idées, vidéos | Lien permanent
Pour protéger sa marque d'un risque éventuel de bad-buzz, voici une technique simple, donc essentielle, et à laquelle on ne pense pas suffisamment : éviter de le provoquer soi-même.
Pour cela, nul besoin d'être devin. Suffit de regarder dans le rétro.
⏪ Prenez cet exemple de 2019 partagé jeudi dernier lors mon intervention à la CCI Val-d'Oise :
En fin d'année, Danone retire sa mini-bouteille d'Evian de 20cl suite à la réaction d'une cliente (pétition sur change.org https://bit.ly/3iSmKyn) qui ne comprend pas pourquoi on propose encore ce type de format "dans une époque où l'on essaie de se débarrasser des mauvaises habitudes" et des déchets plastiques inutiles qui nous empoisonnent la vie.
⏩ Et comparez-le à celui de 2023, avec ce soda orange de 25cl.
Quels enseignements pratiques pouvons-nous en tirer ?
Rédigé par Mickaël Guillois dans bad buzz | Lien permanent
Pourtant, je l'ai toujours choyée, dorlotée, lui offrant toujours les meilleures cartouches d'encre de son fabriquant d'origine. Mais là, elle s'est arrêtée de travailler tout net et me force à la ramener à son service technique, sinon elle se bloque définitivement.
Inquiet, j'ai bien sûr immédiatement contacté Canon, par chat, qui me dit en substance ceci :
• Le réservoir des encres usées de votre imprimante est rempli, il doit être changé en atelier.
• Cette intervention est payante.
• A défaut, nous vous proposons une réduction sur l'achat d'une nouvelle imprimante.
Et là, je suis bien embêté.
Car mon imprimante est relativement récente même si elle n'est plus sous garantie et fonctionne, par ailleurs, parfaitement bien. Je ne comprends pas pourquoi je devrais en racheter une nouvelle, créant ainsi un déchet inutile.
Car j'ai le sentiment que le nettoyage de cet absorbeur est une tâche somme toute aisée, du moins pas plus compliquée que le remplacement d'une cartouche d'encre vide, comme me le confirme ce reportage de France Télévisions https://youtu.be/lQXF5iSCZMA
Car j'ai le sentiment que si j'avais eu, au moment de l'achat, l'information que cette intervention me coûterait plus d'1/3 du prix de mon imprimante neuve, j'y aurais peut-être finalement réfléchi à deux fois.
Bref, je me demande si derrière cette situation ne se cache pas une pointe d'#obsolescenceprogrammee ?
Rédigé par Mickaël Guillois dans fail, fidélisation | Lien permanent
⏱ Prochain webinaire spécial #ProsDuBâtiment prévu fin novembre (cf cover). 20 participants max. Prévoir 15 à 30mn. Invitation sur demande en MP comme d’habitude... A très vite 🚀
#communautés #marketing #fidélisation #ux #tendances #bonnespratiques #webinaire #webinar
Rédigé par Mickaël Guillois dans web.ux, webinaire | Lien permanent