Rédigé par Mickaël Guillois dans boîte à idées, curiosités, vidéos, wow | Lien permanent
Parce que la question de la rentabilité immédiate du Social marketing est posée, et que les avis sur la question sont nombreux, voici 5 raisons pour lesquelles à mon sens le R.O.I ne doit plus être le seul pilote aux commandes :
01 • Test and learn
C'est un fait, une relation communautaire demande peu d'investissement mais se construit pas à pas, sur le long terme. Inutile de dire que sa rentabilité risque de ne pas être au rendez-vous la 1ère année. Tout l'inverse des médias traditionnels. Respecter cette nouvelle règle, c'est donc adopter une logique test and learn
02 • Ne mettons pas la charrue avant les bœufs
Calculer le ROI de notre stratégie sociale nécessite de mettre en place des outils et une expertise Social-CRM ad-hoc. Concentrons d'abord notre énergie sur la relation que nous sommes en train d'initier …/…
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La Banque Postale vient de créer 15 vidéos Vine pour répondre en moins de 6 secondes et d'une façon plutôt originale aux FAQ que lui posent ses followers. A découvrir sur vine.co/labanquepostale
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Les 6 principes de l'influence ont été inventés par Robert Cialdini, professeur de psychologie et marketing à l'Université de l'Etat d'Arizona et publiés pour la première fois en 1984 dans son livre "Influence : la psychologie de la persuasion". Et ce qui est le plus étonnant, c'est qu'ils sont toujours d'actualité.
Petite piqûre de rappel pour tout marketeur qui rêve secrètement de mieux comprendre ses clients…
1. La réciprocité (ou principe du contre-don)
En tant qu'individus, nous cherchons généralement à rendre les faveurs qui nous sont faites, à rembourser nos dettes et à traiter les autres comme ils nous traitent. Cette idée de réciprocité peut nous amener à nous sentir obligés de faire des concessions à ceux qui nous ont obligé. C'est la raison pour laquelle nous sommes mal à l'aise dès que nous nous sentons redevables.
Par exemple, si un collègue vous aide lorsque vous êtes débordés. Le jour où il proposera une idée pour optimiser le process de l'équipe, vous allez certainement vous sentir obligés de le soutenir à votre tour. Vous allez peut-être également acheter plus de marchandises à l'un de vos fournisseurs qui vous aura proposé spontanément une offre discount personnalisée.
2. La rareté
Ce principe veut que la valeur des choses nous semble plus importante si leur disponibilité est limitée, ou lorsque nous perdons la possibilité de les acquérir à des conditions particulièrement intéressantes.
Exemple : Il se peut que nous achetions quelque chose sur le champ, simplement parce que le vendeur vient de nous informer qu'il s'agit du dernier article ou que l'offre proposée risque de se terminer sous peu.
3. L'autorité
Qu'on le veuille ou non, nous respectons naturellement l'autorité. C'est la raison pour laquelle nous remettons rarement en question l'ordonnance d'un professionnel de santé qui arbore fièrement une blouse blanche ou un diplome de médecin au mur de son cabinet. Il en va de même de celle des experts ou des marques connus ou reconnus. Aah, l'aura de la médiatisation…
4. L'engagement (et la cohérence)
Cialdini a démontré notre profond désir de cohérence qui nous incite moralement à harmoniser nos valeurs, nos envies et nos actes. C'est pourquoi, une fois avoir signalé notre intention de nous engager dans un projet, nous sommes plus enclins à aller jusqu'au bout.
Exemple : Vous seriez probablement plus à même de soutenir le projet d'un collègue si vous aviez manifesté quelques jours avant de l'intérêt quand il vous a parlé de son intention de le réaliser.
5. Le lien d'affection
Il n'est plus à démontrer que nous sommes plus susceptibles d'être influencés par des gens que nous aimons. Le fait d'être aimable peut prendre de nombreuses formes : vous pouvez apprécier votre interlocuteur parce que vous avez l'impression qu'il est comme vous, qu'il vous est familier, ou bien encore parce que vous êtes sensibles à ses compliments ou tout simplement parce que son propos vous inspire confiance.
De nombreuses entreprises recrutent d'ailleurs des vendeurs au sein même de la communauté de leurs acheteurs, pour favoriser cette projection.
6. Le consensus (ou la preuve sociale)
Ce principe repose sur le sentiment de sécurité qu'éprouvent les individus quand ils sont dans un groupe et de mimétisme qui en résulte.
Par exemple, nous travaillons souvent tard si d'autres collègues en font tout autant. Nous mettons plus facilement une pièce dans une urne si elle contient déjà de l'argent. Et nous nous laissons tentés plus naturellement par un restaurant si est particulièrement fréquenté. Nous supposons que si beaucoup d'autres personnes comme nous se livrent à une activité, il est probable que celle-ci soit intéressante et de qualité.
Nous sommes particulièrement sensibles à ce principe quand nous sommes dans le doute. Et d'autant plus réceptifs que les gens que nous voyons nous ressemblent. Raison pour laquelle les publicitaires font plus appel à des mamans du quotidien qu'à des célébrités pour la promotion de leurs produits ménagers.
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Le web n'en finit plus de réinventer la relation entre les marques et leurs clients. Et c'est tant mieux.
Si la première grande étape de cette révolution a été la Digitalisation, c'est bien aujourd'hui la Socialisation qui fait toute la différence et cette capacité qu'a une marque à faire vivre à sa communauté une expérience unique (ux). Unique parce que singulière bien sûr, quel que soit le point de contact. Unique aussi par l'enthousiasme qu'elle réussit à soulever autour d'elle.
Pourquoi cette ux est-elle devenue si vite l'un des enjeux de la stratégie de marque ? Au moins pour 3 raisons : elle a désormais le pouvoir de médiatiser notre message à la vitesse du buzz, de mobiliser nos collaborateurs et nos influenceurs pour en faire nos meilleurs ambassadeurs et, in fine, de fidéliser nos clients. Déjà pas mal, non ?
Reste alors à mesurer son degré d'excellence en la matière. Pas si facile. D'autant que les outils sont légion et ne tiennent pas toujours leurs promesses. Pour ma part, j'ai créé une méthodologie qui synthétise 8 convictions - toutes personnelles - forgées au fil de quelques années à accompagner des marques sur le web et les réseaux sociaux. C'est le #webuxscore. Ca donne cette toute jolie matrice et un score/100.
A titre d'exemple, voici le #webuxscore de GoPro, Darty et Ford.
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Une réponse à l'obsolescence programmée de nos chers, très chers compagnons.
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Rencontré ce matin lors de la conférence du #CMD qui s'est tenue @LaCantine, Anthony Ginter propose MyApp.net, une solution complète et particulièrement économique pour développer en mode DIY votre propre application smartphone. Quelques heures de paramétrage par vos soins et la mise en ligne sur l'Appstore incluse pour moins de 600 €/an. A découvrir pour se faire sa petite idée.
Mise à jour : La grille tarifaire de myapp.net vient d'évoluer. Elle va d'une offre gratuite pour la version Android à 99€/an pour la version iPhone + Android.
MyApp.net démocratise le développement des... par mickaelguillois
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Décidément, les UGO (Users Generated Opportunities) se multiplient ces temps-ci au plus grand bonheur des Social Marketers capables de reprendre la balle au bond. L'un des derniers, celui de Coca-Cola et de sa bouteille rose.
L'histoire ? Le 6 octobre 2012, John Cardinal un adolescent californien, a créé l’un des plus grand buzz de l’histoire de Facebook en lançant un défi à Coca-Cola sur sa page Facebook. Son souhait ? Que la marque commercialise une bouteille de Coca-Cola rose et reverse 30% des bénéfices de cette dernière à la recherche contre le cancer du sein si son post atteignait les... 2 millions de like.
En moins de 10 jours, la publication a été likée par plus de 2 millions de personnes ! Un record jamais égalé sur Facebook.
Face au silence radio de Coca, on a vu apparaitre une initiative audacieuse de l’agence Creads, spécialisée dans les concours participatifs, qui a lancé une plate-forme (bien sûr non officielle) pour aider John à commercialiser sa bouteille. Les fans de Coca ont ainsi été invités à imaginer leur propre bouteille rose sur le site PinkMyCola.com. Près de 5 000 visiteurs uniques et 17 000 pages vues ont déjà été enregistrés.
Hélas, côté Coca-Cola, la belle histoire se termine modestement puisque lundi dernier nous apprenions par une note sur son blog que la marque déclinait la proposition de son fan. D'une part, pour des raisons techniques et d'autre part, en rappelant que la société était déjà activement engagée dans la recherche contre le cancer du sein avec ses marques Sprite Zero et Powerade.
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