"In limine litis, le défendeur entend
conclure au débouté du requérant qui, aux termes
de l'adage "Nemo auditur propriam turpitudinem
allegans", ne peut se prévaloir de ses
propres turpitudes."
Si votre vue se trouble à la lecture de ces quelques mots, c'est normal.
Vous devez certainement être atteint(e) de ce que l'on appelle couramment la jargonite aigüe du Barreau, causée par un contact plus ou moins prolongé avec certains avocats traditionnels.
Ce n'est pas grave, certes. Toutefois, il est préférable de réagir.
Pour en venir à bout en quelques lignes, je ne vois qu'une chose : une bonne dose d'avocat 2.0 devrait faire votre affaire. Pour cela, je ne saurais trop vous prescrire la lecture du blog de Maître David, un avocat qui s'est mis en tête de rendre la nébuleuse du Droit du travail accessible au plus grand nombre, et surtout à ses premiers intéressés : les salariés. C'est précis, pédagogique, participatif, agréable à lire… et c'est surtout si rare qu'un homme qui travaille - allez, disons-le - "en robe du soir" nous rende le Droit un tout petit peu plus sexy que ça mérite des encouragements (!)
Pour découvrir le blog de Maître Jean-Christophe David, cliquez ici…
Je nous imagine tous en robe du soir face au Juge au chant et au Procureur à l'accordéon...la justice n'en serait pas plus (ou moins) efficace mais quel pied! Après l'ère de l'avocat 2.0, l'ère du "sexy Lawyer"
Rédigé par : Jean-Christophe | 09 novembre 2007 à 18:33
Je plaide coupable !! et je récidive ;-)
Rédigé par : Mickael Guillois | 09 novembre 2007 à 21:05
Très intéressant , je fais tourner. Michel
Rédigé par : Michel | 10 novembre 2007 à 16:01
Sympa à lire et simple à comprndre, tout ce ke j'aime moi
Rédigé par : aurelie v2 | 13 novembre 2007 à 15:23